Woodstock, le «festival du Verseau» de la CIA

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Derrière le décor du plus grand événement «hippie»

On parle beaucoup des raves parties à base de transe sonore et chimique. Les victimes officiellement identifiées – malgré la désinformation – ne font que cacher les ravages psychiques sur le long terme, moins apparents mais considérables. Avec les rave parties et la techno, on pense qu’on est loin du temps des fleurs dans les cheveux et des joyeux rassemblements hippies des années 60. Mais tout a commencé à Woodstock à la fin de la folle décennie des sixties. C’est dans ce coin de campagne du nord de l’État de New York que les services secrets américains ont parqué un demi million de jeunes pour se livrer à la plus grande expérience de manipulation collective de l’histoire du rock, et sans doute de l’histoire tout court.

On avait connu le concert de Monterey, en Californie, au milieu des années 60. Et il est vrai qu’avec ses 100 000 participants – une première dans l’histoire des mouvements de jeunes – le test fut un succès. Mais Woodstock allait être ce que le magazine Time célébra comme un «Festival du Verseau» et le «plus grand événement de l’histoire.» Le terme «Verseau» avait été soigneusement choisi. L’Âge du Verseau signifiait que l’Âge des Poissons – qui est l’ère du Christ – avait pris fin.

Le 15 août 1969, à Woodstock – petite ville située au nord de l’État de New York, 500 000 jeunes se réunirent pour se droguer et se faire laver le cerveau sur le terrain d’une ferme. Les victimes furent isolées sans possibilité de retour, laissées dans la boue et les ordures, et on leur fit absorber des drogues psychédéliques en les tenant éveillées, durant trois jours entiers, dans un déluge de décibels. Tout cela avec la totale complicité du FBI et des fonctionnaires du gouvernement des États-Unis. La sécurité du concert était assurée par une communauté hippie – truffée d’agents spéciaux – entraînée à la distribution de masse de LSD et à l’assistance psychologique.

Après avoir organisé la propagande et le succès de groupes comme les Beatles et les Rolling Stones, c’est encore le service de renseignement militaire britannique qui fut l’initiateur de cette opération. Woodstock était le «coup de génie» d’Artie Kornfeld, le directeur du Contemporary Projects Division, filiale de Capitol Records et d’EMI – ces curieuses «maisons de disques» dissimulant des recherches militaires. Les fans du rock libertaire des années 60 ne se doutent pas que les disques de leurs idoles «révoltées et antimilitaristes» étaient produits par l’armée britannique !

Le financement du festival de Woodstock fut opéré par l’héritier d’une grande firme pharmaceutique de Pennsylvanie, John Roberts, et deux autres associés. Quand il est question de drogue et d’expérimentation psychiatrique, le lobby pharmaceutique n’est jamais loin. C’est une autre société pharmaceutique, le laboratoire Sandoz, en Suisse, qui avait été la première à synthétiser le LSD vanté comme la «drogue magique» avec le soutien d’universitaires déguisés en apôtres hippies, comme Timothy Leary, propagandiste fanatique de l’usage du LSD, travaillant pour le compte de la CIA.

John Roberts, le sponsor de Woodstock, fut accusé plus tard d’avoir utilisé sa société pour l’intoxication massive des spectateurs.

De petites préparations adéquates furent réalisées pour le demi-million de jeunes qui se rendirent à la fête. Joel Rosenmann, l’un des trois associés, a écrit, alors que le moment du concert approchait: «La nourriture et l’eau vont être en quantité insuffisante; les installations sanitaires surtaxées, les plaintes peu nombreuse et la drogue en surabondance…» Pire que tout «…il n’y aura aucune possibilité pour quiconque le désirerait de s’en aller.» C’est ce qui s’appelle un piège.

«S’asseoir sur ses excréments faisait effectivement partie du plan !», comme le décrit avec cynisme John Roberts.

Une communauté hippie nommée la Hog Farm eut un rôle spécial à Woodstock. La Hog Farm était dirigée par un homme surnommé Wavy Graver, un ancien membre du projet MK-Ultra (CIA). Des communautés comme la Hog Farm étaient fréquentes dans les recoins de la Californie et servaient de repaires aux groupes sataniques aussi bien qu’aux terroristes d’extrême gauche. Des membres de ces communautés s’échangeaient continuellement avec d’autres et constituaient un vivier de recrutement pour la Process Church – l’église sataniste de Charles Manson.

Le 14 août, un jour avant l’opération prévue, on mit hors service la totalité de la force de sécurité composée de 350 policiers new-yorkais, qui se retirèrent. Un porte-parole de la police de New York prétendit qu’aucun arrangement officiel n’avait été pris avec la ville, une assertion que les promoteurs démentirent avec véhémence. Dans un article du New York Times du 15 août 1969, le chef de la sécurité de Woodstock déclara: «Maintenant, je n’ai plus de sécurité du tout. On m’a trompé. Nous avons le plus grand rassemblement de jeunes qu’il n’y ait jamais eu dans ce pays, sans aucune protection policière.» Sans surprise, la Hog Farm fut chargée de la sécurité.

John Roberts, le fondateur et directeur du festival de Woodstock, admit ouvertement qu’il était conscient des implications de la Hog Farm dans la distribution de drogues. Il écrit: «Leur tâche était simplement d’amener les gens au festival et de les en faire repartir. Une force de maintien de l’ordre qui ressemblait, parlait et ressentait les choses comme la foule, serait à la fois hautement crédible et efficace… et le plus important, ils étaient bons connaisseurs en matière de drogues, distinguant les bons des mauvais acides, les bons trips des mauvais délires, les bons médicaments des poisons, etc.»

La Hog Farm vivait à cette époque dans les montagnes du Nouveau Mexique. L’industriel pharmaceutique John Roberts fit affréter un Boeing 727 pour un coût de 17 000 dollars afin de ramener une centaine de membres de la communauté hippie à l’autre bout de l’Amérique !

Pour peaufiner l’intoxication planifiée d’un demi-million de jeunes, le procureur de la région accepta en privé le fait qu’il n’y aurait aucune arrestation ni poursuite pour violation des lois sur les stupéfiants. John Roberts écrit: «Le procureur admit très tôt que nos consommateurs utiliseraient des drogues illégales, mais reconnut également qu’un tel usage serait le cadet de ses problèmes l’espace d’un week-end. Il agit avec compréhension et bonne grâce durant tout le déroulement.» Roberts était en contact avec le FBI et était assuré de sa totale coopération.

L’expérience commence

66681507Deux jours avant le début programmé du concert, 50 000 jeunes étaient déjà arrivés à Woodstock. Les drogues commencèrent à circuler immédiatement. Beaucoup de gens amenèrent leurs bébés et leurs jeunes enfants, et comme le dit Roberts, même eux étaient drogués. Il écrit qu’aux environs du lac: «Les tout-petits nageaient, fumaient de l’herbe et s’ébattaient en musique.»

Un sondage réalisé au festival par le New York Times montra que 99 % des participants prenaient de la marijuana. Les adjoints au shérif local, complètement débordés, rapportèrent qu’aucune arrestation n’avait été effectuée pour usage de drogue. Le New York Times du 17 août cite un agent: «Si nous avions arrêté les gens, il n’y aurait pas eu assez de place au centre pénitentiaire de Sullivan ni même dans ceux des trois provinces environnantes.»

L’usage de la marijuana n’était pas le pire. Suivant le déroulement établi lors du projet MK-Ultra, vint ensuite la distribution massive de LSD mélangé à du Coca-Cola. Roberts relate: «On avait tendu un Coca au LSD à un flic tandis qu’il faisait la circulation. Longtemps après, toutes les automobiles s’étaient figées à l’arrêt, mais le gars continuait à faire des signes, dans le vague.»

Pendant les trois jours suivants, ce demi-million de jeunes fut soumis à de continuelles prises de drogues et à l’écoute de groupes de rock qui défilaient.

À cause des pluies torrentielles, ils furent obligés de patauger dans la boue jusqu’aux genoux. Il n’y avait pas d’abri, et aucun moyen de sortir car les voitures étaient garées à plus de 10 km. Rosenmann écrit que la clé de «l’expérience de Woodstock résidait dans le fait que nos artistes continuent à se produire en continu… pour garder les jeunes défoncés.»

Dans les premières 24 heures, plus de 300 jeunes se présentèrent aux permanences médicales, violemment malades. Le diagnostic: ils avaient eu un mauvais trip. Des milliers d’autres suivront. Le 17 août, le New York Times rapporta: «Cette nuit, un annonceur du festival a lancé une mise en garde depuis la scène pour prévenir que des acides présentant des défauts de fabrication étaient en circulation.» Cet organisateur déclara: «Vous n’êtes pas en train de prendre des acides empoisonnés – l’acide n’est pas un poison. Il est juste mal fabriqué. Vous n’allez pas mourir… donc, si vous pensiez que vous avez pris du poison, ce n’est plus le cas. Mais si vous êtes inquiets, prenez seulement une demi-tablette.»

Et qui était cet annonceur qui recommandait à 500 000 jeunes Américains de ne prendre qu’une demi-tablette de LSD en cas de doute? C’était l’agent du projet MK-Ultra, Wavy Gravy en personne, preuve que la CIA était derrière l’opération.

Mais la catastrophe sanitaire allant croissant, un appel fut lancé à la ville de New-York pour envoyer d’urgence du personnel médical. Plus de 50 médecins et infirmières furent dépêchés par avion. À la fin du festival, on rapporta un total de 5 000 cas médicaux.

woodstock_99_pdL’expérience fut-elle jugée concluante pour les expérimentateurs des services secrets ? Ces gens-là ne confient pas les résultats de leurs manipulations et de leurs crimes. Mais, quoi qu’il en soit, cette opération promotionnelle d’envergure pour le LSD fut un succès à travers le monde. Et Woodstock fut présenté comme un grand moment de «paix» et d’»amour.»

Altamont: Faut qu’ça saigne !

Le dernier grand festival des années 60 fut organisé sur le circuit d’Altamont, à l’extérieur de San Francisco avec les Rolling Stones en vedette. L’idée de ce concert vint de Ken Kesey, le responsable du projet MK-Ultra de la CIA. Cette fois, ce fut une frénésie collective, une orgie entraînant tous les excès avec des dizaines de blessés et plusieurs morts.

Le concert se déroula avec moins de préparation et de commodités qu’à Woodstock: pas d’eau, pas de nourriture, pas de sanitaires. Le contraire d’une organisation à l’américaine. Par contre, on pouvait trouver toutes les drogues.

Les maîtres du jeu, les Rolling Stones, avaient engagé pour la sécurité le gang des motards Hell’s Angels («les anges de l’enfer») connus pour leur brutalité. On ne pouvait faire pire. Les Hell’s Angels organisaient le trafic de drogues tout en se livrant à leurs jeux favoris: insultes, bagarres, viols.

Pour faire monter encore plus la pression, on fit attendre près d’un demi-million de jeunes en retardant d’une heure la prestation des Rolling Stones. Ainsi, Mick Jagger, l’ange en rouge et noir, singeant Lucifer dans sa cape en satin, n’eut qu’à cueillir le public drogué, privé de nourriture et d’eau.

L’écrivain Sanchez décrit un rituel satanique planifié: «Dès que le groupe commença à jouer, plusieurs jeunes se débarrassèrent de leurs vêtements (malgré le froid de l’hiver) et rampèrent vers la scène comme si c’était un autel haut placé, pour s’offrir comme victimes aux coups et aux bottes des Hell’s Angels qui cognaient. Plus ils étaient battus et plus ils revenaient à la charge, comme mus par une force surnaturelle. Debout au devant de la scène, Meredith Hunter, un jeune noir, allait bientôt être choisi pour le sacrifice humain.

Les Rolling Stones venaient de sortir leur nouvelle chanson intitulée Sympathy for the Devil («Sympathie pour le Diable») qui était devenu rapidement n°1. Au début de la chanson, Mick Jagger se présente lui-même en tant que Lucifer. Dès qu’il se mit à chanter, le public dansa dans une sorte de frénésie sauvage.

Sanchez décrit ce qui s’est passé ensuite: «Un gros Hell’s Angel fort comme un grizzly avait foncé sur Meredith pour lui tirer les cheveux en guise de provocation. Une bagarre éclata. Cinq autres Angels foncèrent dans le tas pour aider leur pote, tandis que Meredith cherchait à s’échapper de la foule compacte. On l’attrapa par le bras et lui planta un coup de couteau dans le dos. Le couteau ne pénétra pas profondément, mais Meredith, qui savait qu’il se battait pour sauver sa peau, sortit un revolver de sa poche et le pointa sur la poitrine de son agresseur. À ce moment-là, les Angels lui sautèrent dessus comme une meute de loups. L’un d’eux lui arracha son arme, et un autre le poignarda au visage, puis encore un autre le poignarda à répétition comme un fou, dans le dos, jusqu’à ce qu’il s’effondre.»

Il n’a jamais été prouvé que Meredith avait une arme à feu. Personne ne fut inculpé.

Durant cette tuerie sanglante se déroulant juste à leurs pieds, les Rolling Stones continuèrent à jouer «Sympathie pour le Diable.» La scène entière fut tournée par une équipe engagée pour filmer le concert. Et peu de temps après, le film devint un succès commercial sous le titre d’une des chansons des Rolling Stones: Gimme Shelter («Donne-moi un abri»). À l’issue du meurtre, Mick Jagger s’était arrêté de chanter un instant, mais il reprit son show satanique. On pense que la tragédie fut mise au point par des satanistes qui font le trafic de snuff films, les films de meurtres réels.

Mais la question demeure: «Quel est le but des services secrets dans ces expériences de manipulation de masse ?» Observation scientifique pour la mise au point de drogues de synthèse ? Volonté de faire tomber la jeunesse vers le bas pour la contrôler ? Ou bien encore, mises en scène de rituels de magie noire à grande échelle pour satisfaire les pulsions des membres de l’élite ? C’est certainement pour toutes ces raisons qu’au tournant des années cinquante fut lancé le plan «Sexe, drogue et rock’n roll.»

Peut-on en déduire que la plupart des modes et des courants culturels relèvent d’une expérimentation planifiée ? Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne le mouvement de jeunesse des années soixante, on a la preuve avec Woodstock que tout a été manipulé dans une perspective politique. La jeunesse est volontairement poussée vers le bas pour s’adapter et se soumettre à l’Ordre Mondial. Elle est avilie, rendue inconsciente. Et si la drogue circule librement dans les écoles, c’est que telle est la volonté de nos gouvernants.

Extrait de Les Fumées du Nouvel-Age

http://www.crom.be/fr/documents/woodstock-le-festival-du-verseau-de-la-cia

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Strategika51
1 octobre 2013 11 h 03 min
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mag
mag
1 octobre 2013 12 h 55 min
Excellent article ! Je crois dur comme fer à cette manipulation ! Le vétérinaire qui soigne mes animaux me disait ,que les labos allaient mettre au point des phéromones pour humains ,il n’y aurait plus qu’a les balancer par avion par exemple et tout le monde serait apaisé et sans l’envie de révolte !Ainsi les gouvernements seraient tranquilles pour faire ce qu’ils veulent ! (on donne des phéromones en pastilles sur prise électrique ou vapo , comme les anti-moustiques) , afin d’apaiser artificiellement les animaux nerveux quand ils restent à la maison ! belle perspective …mais ils y arriveront si les gens se laissent faire !
PILONYDAS
PILONYDAS
1 octobre 2013 18 h 56 min
Journal hebdomadaire de Voix de la Russie – 30 septembre 2013.

http://www.youtube.com/watch?v=rFlqbTRSkX8#t=1524

Parou Lassorti
Parou Lassorti
1 octobre 2013 23 h 38 min
Jamais rien lu d’aussi stupide ! Ça me foutrait même presque en rogne, tiens. Non pas que le flower power soit particulièrement ma tasse de thé, mais à aucun moment il n’est fait mention dans ce torchon de l’extraordinaire affiche du festival, de tous ces phénomènes tout aussi camés, créatifs jusqu’au bout des tripes, ni des messages politiques et engagés divulgués haut et fort, notamment contre la guerre au Vietnam (Country Joe And The Fish, Hendrix…). Ces artistes travaillaient aussi pour le FBI ? La CIA ? Et Janis Joplin total héroïnée et bourrée dont on n’a pas retenu les images de sa prestation (première version), c’est Southern Comfort qui la sponsorisait ?
Combien de morts, combien de blessés recensés ? La théorie du Complot a ses limites… Grrr
avic
2 octobre 2013 0 h 35 min
Répondre à  Parou Lassorti
Moi non plus je n’aimerais pas qu’on touche à “mon” Hendrix, “ma” Joan Baez, à “mes” Who, et tant d’autres. Ce que vous dites du festival, cela fait 44 que c’est dit et redit sous toutes les formes et en mieux par des millions de gens. Est-il interdit, en 44 ans, de regarder, une et une seule fois, ce qui s’est passé en coulisses? Serait-ce un dieu intouchable sous peine de révisionnisme? Dénoncer la drogue équivaut pour vous à dénoncer ceux qu’elle a tués comme Jimmy Hendrix, Janis Joplin ou Brian Jones? Si vous pensez ainsi, vous risquez de vous faire du mal à lire les articles de ce blog. Peut-être seriez-vous plus à l’aise avec des blogs plus consensuels?
Parou Lassorti
Parou Lassorti
2 octobre 2013 7 h 30 min
Répondre à  avic
Les coulisses, c’est un peu comme les interviews des sportifs, ça ne mérite pas souvent le détour. Ou les opinions politiques de tel ou tel comédien. Côté “vérité(s)” Il me semble qu’on en sait aujourd’hui suffisamment sur la saloperie humaine (déforestation, nucléaire, famines organisées, massacres, fouilles technologiques, etc.), je n’en ai pas besoin de plus. Laissez-nous une petite part de rêve please, et je continuerai de gueuler “no rain, no rain !”, fut-elle acide.
Quant à ce blog, j’y ai atterri par hasard et n’ai pas particulièrement l’intention d’y revenir.
Mais merci pour ce dialogue, on en manque tant de nos jours…
PILONYDAS
PILONYDAS
2 octobre 2013 10 h 38 min
Répondre à  Parou Lassorti
Entre l’homme qui se fait comprendre et celui qui ne le fait pas il y a un abîme de différence. Le premier sauve sa vie. 😉

à méditer Par ou.La sortie !

Parou Lassorti
Parou Lassorti
2 octobre 2013 10 h 42 min
Répondre à  PILONYDAS
Alors là, justement, je ne comprends pas cette remarque. Dommage… pour qui ? 🙂
PILONYDAS
PILONYDAS
2 octobre 2013 12 h 21 min
Répondre à  Parou Lassorti
Entre un penseur et un érudit, il y a la même différence qu’entre un livre et une table des matières. 😉
Le moine obscur
Le moine obscur
3 octobre 2013 11 h 10 min
Répondre à  avic
Cher Avic oh vous savez certains disent être libres penseurs mais dès qu’on touche à leurs dogmes, ils peuvent réagir comme de véritables fanatiques. Pour ma part plus rien ne me surprend dans ce monde. Mais qu’est-ce qui devrait surprendre ? Après des coups fourrés comme le drame du 911 et les innombrables sales coups et attaques contre le citoyen lambda qu’est-ce qui pourrait surprendre ? Les gens refusent de voir que les élites contrôlent le système établi ET la rébellion. Rébellion contrôlée qu’ils ont soit créée ou détournée. Ils croient que les artistes agités des 60s auraient pu percer sans que les élites ne le veulent ? Ce n’est pas parce qu’un gus prétend être un rebelle qu’il l’est réellement. Quand on a vu comment les gens ont cru qu’Obama allait faire une révolution on peut comprendre comment certains ont cru que les Rolling Stones et autres étaient des rebelles. Ce ne sont que des bergers d’un troupeau qui ne doit pas penser par lui-même. Il faut que les gens se réveillent et rejettent les idoles et autres maîtres à penser sinon ils feront avoir. Que ces maîtres à penser soit des politiques, des hommes religieux ou des artistes. Les élites ont segmenté la population afin d’offrir à chaque segment le leader idéal, c’est aussi simple que cela. Après certains peuvent “rêver” ce n’est pas interdit mais il faut savoir faire face à la réalité aussi rude soit-elle.
Bernard Franz
Bernard Franz
3 octobre 2013 16 h 35 min
Répondre à  avic
après avoir jeté un oeil au reste de la “production” de ce “Centre de Recherches sur l’Ordre Mondial” http://crom.be/fr/documents d’où provient cet article, tout ceci apparait bien à la limite de la dérive sectaire à mes yeux : croyances énoncées comme vérité, mélange de conspirationnisme et d’ésotérisme, tout ça au service d’une vision du monde si effroyablement paranoïaque qu’on se demande si elle n’a pas pour but de “faire pour peur pour ensuite rassurer” comme nombre de charlatans avide de pouvoir sur autrui.

Bref j’ai contacté la Mivilude pour avoir leur avis ! Je vous tiens au courant.

http://www.miviludes.gouv.fr/quest-ce-quune-d%C3%A9rive-sectaire : «Qu’est-ce qu’une dérive sectaire ? Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l’ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société.»

soupe
soupe
2 octobre 2013 14 h 16 min
Des preuves ? des références ? c’est facile de crier au loup et au grand méchant nouvel ordre mondial qui manipule les foules de moutons débiles que nous sommes pour le compte de vils satanistes qui vont nous arracher nos coeurs battants pour les donner en pature à leurs chiens mais un moment donné il faut savoir être crédible et faire un vrai travail “journalistique”… sans preuve et references on peut tout affirmer…
Captain FLAM
Captain FLAM
12 juillet 2014 14 h 09 min
Répondre à  soupe
Exactement ! J’allais dire pareil !!

Au moins sur Wikipédia, y’a des références …

Ferait bien d’en prendre de la graine 😛

Captain FLAM
Captain FLAM
12 juillet 2014 14 h 11 min
Répondre à  soupe
Néanmoins, point de vue intéressant …

Il y a “peut-être” quelques vérités planquées au milieu …

BerNic
BerNic
3 octobre 2013 0 h 11 min
De qui est ce texte ? #LyndonLarouche ? À première vue de quelqu’un qui ignore complètement qu’il n’y a pas besoin de conspiration du gouvernement pour que les gens aiment heureusement se perdre eux-mêmes dans des état de conscience modifiés (sans parler du bien que ça fait quand c’est bien fait, en terme de développement personnel… ^^) #rasta
Le moine obscur
Le moine obscur
3 octobre 2013 10 h 02 min
Article intéressant même si je ne suis pas surpris parce qui y est dit. Alors bien sûr certains fans de ces artistes dégénérés viendront beugler, c’est leur droit après tout. Je pense que Woodstock était une expérience en live pour le contrôle mental. Ceux qui ne veulent pas voir le mal là où il se trouve seront surpris quand ils se retrouveront clairement face à lui. Je crois que ce genre d’expériences continue même si sous des apparences plus soft. Maintenant on utilise à ce que je sais beaucoup plus la technologie mais la logique est la même. Une sombre histoire qui dépasse sans doute l’entendement de personnes qui pensent tout connaitre du monde et voient celui-ci au travers de leur “courte de vue”. Le monde est sale et glauque et ce qu’on voit lors de guerres comme celle d’Iraq n’est que la partie émergée de l’iceberg. Les hippies et autres ont été des cobayes et ça continue. Comme les gens ne voient pas le mal pourquoi les élites vont-elles se priver ? Mais le contrôle mental est aussi présent dans certaines églises où l’on voit des choses étonnantes ! Notamment les églises charismatiques ! C’est vraiment abominable.
Parou Lassorti
Parou Lassorti
3 octobre 2013 10 h 51 min
Répondre à  Le moine obscur
Le moine obscur,
Il ne s’agit pas d’être naïf, ni utopiste (quoique ce sont les “dingues”, doux ou durs, qui amènent les grands bouleversements), mais attentif à la culture. Personnellement, je me fous de savoir si les hippies étaient des cobayes, il est certain qu’un camé est un être dépendant, et, en l’occurrence, le contraire d’un être libre, slogan pourtant scandé à cette époque. Mais tous n’étaient pas ainsi formatés.
Que vous traitiez ces artistes de “dégénérés” vous regarde (en passant, je suis sûr que Mozart aurait adoré Frank Zappa, qui n’était pas à Woodstock d’ailleurs), mais il est indéniable qu’ils ont profondément modifié cet partie de la culture qu’on dit “pop”, et par ricochet, celles qui ont suivi.
Evidemment, si, comme le précédent PDG de la république française, des mouvements comme mai 68 vous donnent des boutons, le dialogue sera stérile.
En tout cas, le jour où je choisirai de me suicider, je ne manquerai pas de relire votre commentaire, ainsi que l’article pour lequel j’ai déjà dépensé trop d’énergie. Ça aidera…
Bon courage Le moine obscur – pseudonyme révélateur – vous en avez probablement besoin avec une perception si certaine et si triste de notre pôôôvre monde.
PL
PILONYDAS
PILONYDAS
3 octobre 2013 10 h 57 min
Répondre à  Parou Lassorti
Quelle est la différence entre le Rap et le Hip Hop ?- C’est comme dire je t’aime et être amoureux, le Rap n’est qu’un mot, le Hip Hop est un état d’esprit…. 🙂
PILONYDAS
PILONYDAS
3 octobre 2013 12 h 20 min
Répondre à  Parou Lassorti
Comme le disait Timothée Gustave, il faut cultiver la différence, et non l’indifférence ! 😉

par ici la sortie .

Parou Lassorti
Parou Lassorti
3 octobre 2013 12 h 29 min
Répondre à  PILONYDAS
“J’ai pas peur de l’avouer, j’avais quarante ans passés, eh bien, le jour de la mort de Brassens, j’ai pleuré comme un môme. J’ai vraiment pas honte de le dire. Alors que – c’est curieux – mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules.”
Pierre Desproges, humoriste (1939 – 1988)
😉
Parou Lassorti
Parou Lassorti
3 octobre 2013 12 h 31 min
Répondre à  Parou Lassorti
A bon entendeur, salut. Je quitte la discussion, j’ai des choses bien concrètes à faire pour faire avance mon p’tit monde… 🙂
PILONYDAS
PILONYDAS
3 octobre 2013 12 h 37 min
Répondre à  Parou Lassorti
A la différence de l’homme , le lézard est capable de sacrifier sa queue pour sauver sa vie….lol.
caligula63
caligula63
3 octobre 2013 13 h 08 min
Répondre à  Parou Lassorti
Perso, moi c’était le jour de la mort de M. Jackson. On avait été fêter ça avec un pote. Mes aïeux, quelle cuite!
J’ai mis de côté qqs caisse de champagne pour fêter celle de J Halliday, mais il s’accroche, le bougre 🙁
PILONYDAS
PILONYDAS
3 octobre 2013 13 h 18 min
Répondre à  caligula63
Et moi j’ai des bouteilles en garde, en attendant la fin de Jeanne Moreau …et toc . 😉
caligula63
caligula63
3 octobre 2013 13 h 23 min
Répondre à  PILONYDAS
J’espère pour vous qu’il s’agit de vin de garde. Elle rajeunit d’années en années, la mère Moreau…
Le moine obscur
Le moine obscur
3 octobre 2013 20 h 30 min
Répondre à  Parou Lassorti
Sombre ma vision du monde l’est au de là de votre compréhension. Evidemment je parle en fonction de ce que je sais et de ce que je perçois. Que certains veulent aimer la culture comme ils disent c’est leur problème, je ne leur dénie pas ce droit. Cependant je n’appelle pas ce qui s’est passé à Woodstock de la culture mais de la merde ! Même des artistes comme Lady “Caca” pour moi fait de la merde, idem pour Madonna et d’autres. De plus je trouve curieux que tous ces artistes montrent les mêmes symboles (one eye par exemple, pyramides, papillons etc…) qui sont pour moi symptomatiques du programme Monarch. Ces artistes je le pense et je le dis contribue à un vaste programme de contrôle mental diabolique. Après comme je le dis chacun est libre de croire ce qu’il veut. Si certains veulent penser que ce sont des artistes doués (l’un d’ailleurs n’empêchant pas l’autre) ça les regarde. Pour moi tout ceci est néfaste, diabolique en un mot une calamité. Et je ferais tout pour protéger mes enfants de ces horreurs.
caligula63
caligula63
3 octobre 2013 22 h 43 min
Répondre à  Le moine obscur
Bonsoir le moine obscur,

Je suis d’accord avec vous – sauf peut-être sur le contrôle mental, mais là n’est pas le problème – concernant les artistes “dans le vent”.

Je dois, cependant, vous faire un reproche: vous ne pouvez pas – en aillant un tel pseudo – parler de vos enfants…Voyons.
😉

caligula63
caligula63
3 octobre 2013 22 h 47 min
Répondre à  caligula63
Arrrgh! …en AYANT un tel pseudo…
Que Saint Pivot me pardonne!
le moine obscur
le moine obscur
4 octobre 2013 2 h 30 min
Répondre à  caligula63
Je considère les enfants de mes proches comme “mes enfants” aussi. S’ils ne le sont pas par le sang, ils le sont par le coeur.
spon
spon
14 août 2014 22 h 21 min
vous n’avez pas compris. il ne faut pas chercher à confirmer ou à infirmer les informations venant de ce type d’article. l’idée derrière cet article est toute simple : on prend quelque chose au hasard (gros de préférence), on décide que la CIA, le FBI, le club Bilderberg, ou la franc-maçonnerie est derrière, et ensuite on cherche à le prouver. et on y arrivera forcément. quand on cherche à faire quelque chose on y arrive.

par exemple je prends le mouvement punk, je vais m’efforcer à prouver que c’est le MI5 et l’église anglicane qui ont créé ce mouvement pour préparer l’angleterre à la transition au libéralisme satanique thatcherien, et je vais y arriver. j’ai juste à récupérer tout ce qui peut être détourné de façon politique ou ésotérique et hop au boulot.

même chose avec n’importe quoi. le siècle des lumières, la musique techno, les chaînes documentaires, les jeux vidéos, il est possible de trouver une explication cohérente prouvant une manipulation ésotérico-politique pour absolument tout.

Saddam khadafi AKA Obama Bin Merkel
Saddam khadafi AKA Obama Bin Merkel
16 août 2014 21 h 20 min
Répondre à  spon
De plus ce “blog” qui se permet d’affirmer n’importe quoi sans aucune preuve ni même lien à plus de chance de faire partie d’une tentative de manipulation au sein de la guerre de l’information que Ken Kesey d’être le responsable du projet MK-Ultra !!! Affirmation qui à eu au moins le mérite de me faire bien rire !
Sansblaze
Sansblaze
15 août 2014 11 h 12 min
“Il n’a jamais été prouvé que Meredith avait une arme à feu. Personne ne fut inculpé.”

Sur la video on voit le Gun mais bon.. pour le reste je ne sais pas j’etais pas là, mais c’est la premiere fois que j’entend parler de cette histoire