Le paquebot abandonné Luybov Orlova a été repéré au large du Royaume-Uni et pourrait s’échouer près des côtes. A bord ? Des centaines de rats affamés.
C’est un navire fantôme. Un paquebot abandonné et perdu en mer. Personne ne tient la barre. Mais, à son bord, sûrement des « centaines » de rats devenus « cannibales« . Personne ne sait où il est. Il pourrait bien faire route vers les côtes du Royaume-Uni, prêt à s’écraser et à répandre ses passagers affamés.
Le Luybov Orlova perdu en mer
Comme le raconte le site spécialisé américain « Gawker« , la situation en est là « parce que les autorités canadiennes ont permis à ce cauchemar de l’ère soviétique de voguer dans les eaux de l’Atlantique, une fois convaincues que ce bateau n’était plus une menace pour les côtes canadiennes ». Cela fait un an que le Canada a laissé intentionnellement le navire fantôme dériver, heureux de laisser ce « problème » à un autre pays. En l’occurrence, leurs cousins irlandais et britanniques.
Le paquebot, nommé Luybov Orlova en hommage à une célèbre actrice russe, a été construit en 1976 dans le but de devenir un bateau de croisière pour les élites soviétiques qui souhaitaient prendre des vacances dans l’Antarctique et au-delà du cercle polaire, raconte « Gawker ».
En 2010, la police canadienne saisit le paquebot pour éponger les dettes de son actuel propriétaire. En 2012, le Luybov Orlova est vendu pour être démantelé. Le jour suivant son départ, il est perdu en mer. Les autorités canadiennes le récupèrent puis décident de l’abandonner dans les eaux internationales.
Depuis mars 2013, les gardes-maritimes écossaises et irlandaises n’ont plus de nouvelles du paquebot. Des recherches ont été effectuées sans succès. La dernière fois qu’un signal de détresse provenant du bateau a été détecté, le Luybov Orlova était 700 miles marins des côtés du Royaume-Uni et s’en approchait. « Il doit être rempli de rats affamés qui ont dû commencer à se manger entre eux », estime un marin belge interrogé par « The Sun ». « Il va falloir beaucoup de mort-aux-rats pour nettoyer le navire. » Si le Luyba Orlova n’a pas été coulé par une tempête. Un vrai navire fantôme.
Source : Le Nouvel Observateur
14 réponses à “Un navire fantôme plein de rats cannibales fonce vers le Royaume-Uni”
– Il est près des côtes anglaises ou bien il est perdu en mer, voire coulé?
– Les rats sont devenus cannibales, ou bien sont-ils tous morts?
– Pourquoi interroger un marin belge? Ils connaissent mieux les rats que les autres?
– Pourquoi je poste un commentaire?
Pour une fois qu’on a une info qui décoiffe !
Cependant voici une info qui vaut scoop. Libé fait dans le comploltisme en dénonçant ses confrères de manipuler la rumeur. On verra peut-être bientôt Le Monde dénoncer le New York Times
http://www.liberation.fr/monde/2014/01/24/non-le-lyubov-orlova-ne-menace-pas-le-royaume-uni_975279
Bien essayé Avic.
Je pensais plutôt que l’on aurait eu le droit à une réponse du genre:
“Ce sont des rats d’eau!”
Mais non!
J’en suis médusé…
Je recommence.
Bien essayé, bien essayé, c’est vite dit!
Je pensais que l’on aurait droit à une réponse du genre:
“Ce sont des rats d’eau!”
Mais non!
J’en suis médusé…
Avouez qu’il aurait été dommage de rater un tel post…
Pffff! L’informatique est une diablerie!
painsposts.Vous arrive-t-il aussi de marcher sur l’eau* ? Une sorte de legs divin venu d’un long calvaire ?* à moins que ça ne soit du vin…
PS: quand on voit à quoi sert la liberté d’expression il y a de quoi pleurer.
Je HAIS la physique!
Autant que l’informatique.
Depuis, je me tiens le plus éloigné possible des grandes zétendues d’eau.
En plus, d’après des rumeurs persistantes, il y aurait des navires chargés de rats cannibales qui vogueraient sur ces étendues humides.
Maintenant que j’y pense, je ne vois pas pourquoi tout le monde s’inquiète des rats cannibales, si ils sont cannibales, ils ne s’attaquerons pas aux humains, mais aux rats autochtones…CQFD.
oups ça fait peur
Les rats ont quitté le navire ? 😀
« stratégie du choc »
Explorer le passé pour comprendre le présent…
En 2007, Naomi Klein publiait La Stratégie du choc.
Un traumatisme collectif, une guerre, un coup d’état, une catastrophe naturelle, une attaque terroriste plongent chaque individu dans un état de choc. Après le choc, nous redevenons des enfants, désormais plus enclins à suivre les leaders qui prétendent nous protéger. S’il est une personne à avoir compris très tôt ce phénomène, c’est Milton Friedman, Prix Nobel d’économie en 1976.
Friedman, soutenant l’ultralibéralisme, conseilla aux hommes politiques d’imposer immédiatement après une crise des réformes économiques douloureuses avant que les gens n’aient eu le temps de se ressaisir. Il qualifiait cette méthode de traitement de choc.
Naomi Klein la qualifie de « stratégie du choc ».
En utilisant de nombreuses images d’archives, Michael Winterbottom et Mat Whitecross démontrent la puissance du texte de Naomi Klein et la nécessité de résister.
http://www.youtube.com/watch?v=vZkT1y1pfKA