Différents journaux reprennent dorénavant, avec une prudence qui les honore, une hypothèse qui effectivement circule de plus en plus, selon laquelle la NSA américaine disposerait, par telle ou telle voie, d’un dossier compromettant pour Angela Merkel, montrant une compromission coupable de la jeune Merkel à l’égard de la Stasi, ou toute autre affaire gênante de cette nature [1].
En menaçant Merkel de rendre public ce dossier, la diplomatie américaine l’aurait convaincue, tout récemment, de soutenir à 100 % la position américaine dans l’affaire ukrainienne, alors que, jusque-là, comme le monde entier l’avait observé auparavant, elle ne l’appuyait qu’à… disons 60 %. Virement cap pour cap qu’elle a effectué incontinent, et d’une façon qui a surpris la plupart de ceux s’intéressant à cette actualité chaude.
Nous pensons en effet qu’il ne s’agit pas là d’une simple hypothèse amusante, du type : Pierre a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu le loup. Il s’agit d’une affaire méritant d’entrer dans la grande Histoire, compte tenu des conséquences en chaine désastreuses de la soumission soudaine d’Angela Merkel aux pressions américaines. Les intérêts allemands sont les premiers à souffrir du divorce dorénavant hélas sans doute définitif entre l’Allemagne et la Russie. Mais nos intérêts français en souffrent aussi, car nous avons la faiblesse de suivre comme des moutons les consignes de Washington, en ce domaine comme en tous les autres.
Si quelqu’un, selon des voies que nous ne pouvons pas à notre place imaginer, apportait des preuves du chantage de la NSA et de la capitulation d’Angela Merkel, l’histoire pourrait être changée. Nous avons pour le moment, en ce qui nous concerne, le devoir de faire écho à cette rumeur, de façon ce qu’elle devienne virale et que la preuve dont nous avons tous besoin sorte peut-être de l’ombre (à moins bien évidemment, qu’un démenti éclatant puisse être apporté).
Cela ne paraîtra pas très digne, mais que faire d’autre ? Passer l’affaire sous silence serait encore moins digne.
Ajoutons que, mais il ne s’agit que d’un point mineur, pourrait ainsi se comprendre la gentillesse soudaine de la Chancelière à l’égard des espionnages américains contre elle révélés dans le cadre de l’affaire Snowden. Longtemps virulente contre la NSA à l’égard de la découverte de ces espionnages, d’un jour à l’autre, elle n’en a plus parlé.
Sans doute s’agissait-il d’un effet collatéral de la menace américaine : Taisez-vous un peu et faites ce que nous vous disons de faire, ou alors gare…
Jean-Paul Baquiast
[1] Le cas significatif de la chancelière Merkel (dedefensa.org, français et anglais, 01-12-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/02/thriller-jeune-et-innocente/
1/ soit il y a de la corruption a tout les étages, aussi bien au niveau des institutions européennes qu’au niveau des dirigeants nationaux.
2/ soit les fameuses écoutes de la NSA et l’espionnage généralisé de l’Europe ont dévoilé quelques secrets inavouables concernant nos chers soit disant responsables politiques.
Une combinaison des deux possibilités n’est pas impossible.
La blagounette du jour : devant le scandale dans la presse allemande, elle a fait paraître un communiqué qui vaut le déplacement : elle s’était donné la mission de les convertir à la démocratie et de les réinsérer . Joli ! En défilant avec eux et en faisant de jolies quenelles , bien sûr. Évident .
Autre petit souci (selon elle) sa gaytude.
Son “mari” divorça dans des conditionî scandaleuses pour l’époque, pris, parait-il, au lit avec un jeune homme qui n’avait rien à faire, ni au domicile, ni dans le lit conjugal.
Donc, 2 gays se marient.
Avec la bénédiction CIA.
Tout ceci, sauf STASI , fait partie des mémoires de Khöl, non parues à ce jour. Le journaliste qui avait les bandes ne lui a rendu que des copies et devait faire paraître l’an dernier. Et RIEN…
Entretemps, elle a fait paraître des entrefilets dans la presse pour assurer que Khöl était gâteux.
A un moment, fugace, ô combien! Elle a dû penser à l’intérêt de l’Allemagne et elle s’est faite recadrer rapidement.
Ce que le peuple allemand ne lui pardonnera pas, c’est STASI , et CIA.
Pour le reste, les mœurs ont évolué.
Mais les allemands penseront qu’ils se sont fait avoir par la CIA, parce que sans cette aide précieuse, elle n’aurait jamais eu le job, et ils ne seraient pas en guerre contre la Russie.