Hillary Clinton en pince t- elle pour Vladimir ?
Cet article a paru originellement dans le « Red Pill Times ». C’est une espiègle réponse à un article que nous avions rédigé à propos de l’antipathie personnelle d’Hillary pour Poutine.
Je commence à croire qu’Hillary Clinton a le béguin pour Vladimir Poutine.
Chaque discours qu’elle prononce est uniquement axé sur le Président de la Russie. Bien sûr qu’elle tient un charabia totalement ridicule et mensonger, mais n’est-ce pas ce que font les filles qui ont le béguin ?
Son obsession de tout ce qui concerne Poutine est à la fois effrayant et plutôt mignon.
J’espère que Bill n’est pas du genre jaloux, parce que M. Poutine est à peu près comme tous les mâles dominants, un ‘’Red pill’’ (réalité parfois douloureuse) comme tout homme pourrait l’être, y compris un certain ancien Président des USA.
Peu importe combien les féministes méprisent M. Poutine pour sa masculinité, au fond elles en bavent secrètement pour la masculinité qu’il dégage. Malheureusement, les féministes, comme Hillary, ressentent le fait qu’elles ne peuvent plus jamais attirer de tels hommes, et donc elles continuent leurs attaques (si elles ne peuvent pas les avoir, alors elles doivent les détruire) . Ainsi est la vie, et l’esprit déboussolé, de la féministe d’aujourd’hui.
Via ‘’Russia Insider’’
Lors d’une collecte de fonds à Las Vegas lundi, Hillary Clinton s’est ruée sur Poutine, et a fait la leçon aux Européens d’être trop mou avec lui. Ses remarques suggéraient un dégoût personnel profond pour l’homme.
… Ou peut-être était-ce, au plus profond d’elle-même, un picotement de désir. Quelques citations de choix de son affection pour Vladimir:
« Je pense que (Poutine) est fondamentalement, un tyran … vous devez vous lever, le circonscrire, et essayer d’étouffer sa capacité à être si agressif ».
« Je vois un ancien agent du KGB, froid et calculateur, et qui est déterminé à … s’enrichir et et à enrichir ses plus proches collaborateurs … »
” Mis à part sa personnalité …, son ordre du jour est une menace pour les intérêts américains. »
Elle a continué à donner des leçons à l’Europe sur la façon dont elle devrait traiter avec Poutine, faisant écho à la gaffe de vice-président américain Joe Biden la semaine dernière:
Certains Européens « ne veulent tout simplement pas de confrontation avec Poutine en aucune façon », … « Je pense que c’est une erreur ».
« Je pense qu’il y avait un manque de volonté de la part des Européens de s’engager pour (l’indépendance énergétique vis-à-vis de la Russie) », … « Chaque pays était plutôt plus préoccupé par ses propres besoins énergétiques. Maintenant, bien sûr, ils se démènent pour trouver le moyen de se soustraire à l’intimidation russe … »
Hillary en est toute émoustillée.
Traduit par Paul Kem (kpf) pour Réseau International