On a tous un jour rêvé de pouvoir boire toute la soirée des shots et des cocktails et de se réveiller le lendemain frais et pimpant. Au lieu de ça, on se traîne jusqu’à 17 h du canapé au lit en faisant des passages toutes les 13 minutes pas la case toilettes pour se vider un peu de partout. La fin du calvaire est peut-être proche. En effet, un scientifique aurait mis au point un alcool sans effet secondaire ainsi qu’une pilule permettant de redevenir sobre en quelques secondes. Hallelujah !
David Nutt, un neuropsychopharmacologue britannique (t’as pas plus long comme profession David ?) aurait mis au point un substitut à l’alcool et une pilule miracle. Le scientifique présente son projet de manière assez simple. “Après avoir testé l’un des composants, je me suis senti bien, relaxé, un peu ivre et à moitié endormi pendant environ une heure, et quelques minutes après avoir pris l’antidote j’étais parfaitement éveillé en train de donner une conférence sans aucun problème.” Si on ne connait pas les détails précis des solutions mises au point par David Nutt, ont sait que l’alcool réalisé agirait sur nos neurostransmetteurs pour nous procurer un sentiment de bien-être. Vous savez cet état dans lequel vous êtes après trois quatre verres et que vous pensez pouvoir embrasser n’importe quelle fille de la soirée et vous battre avec n’importe quel mec. Oui, c’est bien cet état d’euphorie que le scientifique aurait réussi à reproduire, mais via une boisson modifiée.
L’éthanol des boissons alcoolisées aurait été remplacé par des produits proches de la benzodiazépine, une des bases du Valium. Ah ouais c’est vachement mieux de remplacer l’alcool par les médicaments ! Une telle boisson ne permettrait pas d’être ivre, mais juste “joyeux”. David ne s’est pas arrêté en si bon chemin et a également mis au point une pilule permettant de retrouver un état de sobriété total en quelques minutes.
On ne sait pas trop comment tout ça fonctionne et si ça verra le jour, mais le concept peut se révéler efficace à titre préventif, du moins si les produits de substitution ne sont pas plus nocifs que l’alcool.
A quand un titre du style, le trip de la coke sans la dépendance.
Pour un titre racoleur et dangereux au possible pour les idiots qui se contenteraient de ne lire que le titre – d’un autre côté, ils ont fait l’effort de lire, c’est déjà bien!
Désolé Avic, mais cela me laisse sur le Q, de relayer des infos pareilles…
Sur ce, c’est l’heure de l’apéro !
En passant 92 vins issus de différentes régions viticoles
françaises au crible, le magazine a en effet détecté des résidus de pesticides (ou des traces) dans 100% des échantillons.
Dans le détail, on constate un grand écart entre les vins bio, à un bout du spectre, et certains vins industriels ou conventionnels, à l’autre bout. Mais pas un seul vin parmi la centaine analysée n’échappe totalement aux pesticides.
Bordeaux, le mauvais élève
Aperçu des résultats de l’analyse de Que choisir (le total des résidus détectés étant indiqué dans la dernière colonne)
C’est la région bordelaise qui compte le plus important taux de contamination aux résidus de pesticides, selon le test de Que choisir :
« Cinq bordeaux remportent la palme avec des quantités totales de résidus allant de 441 [l’unité est ici le microgramme, soit un millionième de gramme, ndlr] pour le rosé Baron de Lestac 2012, à 1 682 μg/kg pour le graves blanc château Roquetaillade Le Bernet 2011. »
Pour ce dernier vin, la teneur en résidus de pesticides est ainsi « 3 364 fois plus élevée que la norme appliquée à l’eau potable (0,5 μg/kg) ».
A noter également la performance du bordeaux Mouton Cadet 2010, dans sa version rouge, qui réunit à lui tout seul les résidus et traces de 14 pesticides différents (dont du carbendazime, molécule interdite en France). Une information à mettre en parallèle avec la diffusion de ce vin : produit au total à 12 millions de bouteilles par an, Mouton Cadet est « la marque la plus diffusée dans le monde ».
Pour contrebalancer ce palmarès sévère, rappelons qu’il existe de très bons domaines en bio à Bordeaux : Planquette, Les Trois Petiotes, Gombaude-Guillot ou Lamery, pour n’en citer qu’une poignée.
Les vins blancs sont les plus chargés !!!
suite…
http://blogs.rue89.com/no-wine-is-innocent/2013/09/25/300-fois-plus-de-residus-de-pesticides-dans-le-vin-que-dans-leau-potable-231216
Le Clos romain, c’est d’abord un lieu unique de nature sauvage et
préservée : plus de 200 hectares de garrigues, landes et bois ou
règnent une remarquable biodiversité.
« Nous ne possédons pas la Terre, nous l’empruntons à nos enfants«
(Antoine de
Saint-Exupéry)
http://cbql.unblog.fr/
Des fôrets, des ruisseaux, des champs, des OGM (miam miam)…
Mais point de guarrigue.
J’aime pas la guarrigue.
En plus, y’a même pas de guarriguettes dans la guarrigue…
Nul!