Colons, colloque et colonisés

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par Ahmed Bensaada.

« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements. » (Honoré de Balzac)

Note : Dans ce texte, il est question de la France officielle. En aucun cas il ne s’agit pas de nos nombreux amis français, humanistes, pacifistes et très respectueux de la souveraineté et de l’intégrité de l’Algérie.

***

Le 23 mai 1956, en pleine guerre d’Algérie, 26 professeurs français de la Sorbonne – dont le célèbre Raymond Aron – publiaient une déclaration dans le journal le Monde dans laquelle ils exprimaient « leur adhésion réfléchie à l’effort militaire qui est demandé au pays [la France] » et approuvaient le récent appel « pour le salut et le renouveau de l’Algérie française ». Mentionnant « les bienfaits d’une œuvre poursuivie depuis 125 ans et dont aucun esprit honnête ne met en doute la valeur », ils soulignèrent que « cette œuvre est de celles dont les Français doivent rester fiers. Elle doit être continuée ».

Ces universitaires, qui prônaient une Algérie française, feignaient d’oublier que les Algériens, encarcanés dans l’abominable code de l’indigénat, ont baigné, 132 ans durant, dans un illettrisme multigénérationnel.

Concernant les valeureux combattants algériens, ils dénoncèrent « la disposition d’esprit qui […] dispense parfois aux crimes des fellagas une indulgence inadmissible […] et ne craint pas […] d’assimiler aux héros de la résistance des assassins de femmes et d’enfants ».

Et ces professeurs parisiens n’étaient pas seuls. La déclaration notait la solidarité avec cent soixante-dix autres collègues de l’université d’Alger.

Mais voilà que soixante-six ans plus tard, la même université parisienne a accueilli, du 23 au 25 juin 2022, un colloque intitulé « Algérie 1962-2022, Trajectoires d’une nation et d’une société », organisé par des descendants de ceux-là même que les sorbonniens traitaient de « fellagas » et d’« assassins de femmes et d’enfants ».

Comment se fait-il qu’après soixante années d’indépendance, de (trop) nombreux intellectuels algériens, purs fruits de l’Algérie indépendante, continuent à se cacher derrière les meurtrières de l’ancien pays colonisateur pour décocher des flèches empoisonnées vers leur propre pays ?

Le calendrier aidant, le « 43ème congrès national du cercle algérianiste » se tenait à Perpignan presque simultanément (du 24 au 26 juin 2022). Le programme ? « Apologie de la colonisation, révisionnisme historique, mensonges par omission, minorisation et dénégation des massacres, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis par les armées françaises entre 1830 et 1962 […] ».

On se demande pourquoi les organisateurs du colloque parisien n’ont-ils pas saisi l’occasion pour unir leurs efforts avec les congressistes de Perpignan afin de concocter un seul et unique évènement qui aurait couvert exhaustivement la période 1830 – 2022 ! L’attaque contre l’Algérie et son indépendance aurait été plus efficace, n’est-ce pas ?

En fait, au-delà de l’aspect anecdotique de ce bégaiement historique, ce colloque parisien soulève plusieurs questions sérieuses.

Le timing

Le 5 juillet prochain, c’est-à-dire à peine deux semaines après le début de ce colloque, l’Algérie et les Algériens fêteront le soixantième anniversaire de leur indépendance. Une date mémorable qui rappelle le sacrifice de toute une génération de valeureux combattants qui ont donné leur jeunesse et leurs vies pour mettre fin à un joug colonial français sanguinaire, inhumain et raciste. Un système colonial barbare qui est une honte pour ce pays qui se targue d’être « le pays des droits de l’Homme » et qui trouve des « professeurs émérites » pour nous vendre cette ânerie qu’est la « mission civilisatrice de la France ».

Tous les pays ont le droit et le devoir de commémorer les dates importantes de leur histoire, en particulier leurs indépendances. C’est le cas, par exemple, des États-Unis le 4 juillet ou le Canada le 1er juillet. En France, là où se trouve l’université qui accueille le colloque, tous les 14 juillet, les militaires de ce pays se parent de leurs plus beaux uniformes pour parader le long des Champs Élysées. Ali Bensaad, le principal organisateur du colloque n’y a jamais vu aucun inconvénient. Par contre, il s’insurge contre le logo du 60ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie et trouve « scandaleux » qu’il comporte des éléments rappelant l’aspect militaire de la conquête de la souveraineté nationale (voir son interview à AlternaTV – @ 19’55’’). Non seulement il fait semblant de ne pas voir les éléments centraux de ce logo qui représentent le savoir et la technologie, mais il omet également de préciser qu’il a été choisi après concours national et que l’auteur est un ingénieur en électrotechnique et non pas un militaire.

Logo du 60ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie (Œuvre de Abdelmalek Zelagui, ingénieur en électrotechnique).

Tous les peuples ont le droit de fêter joyeusement leurs indépendances, surtout lorsqu’elles sont chèrement acquises après de multiples révoltes et une révolution dont les actes de bravoures et les sacrifices resteront à jamais gravés en lettres d’or dans l’histoire contemporaine. Il y a un temps pour se réjouir de nos acquis et de glorifier ceux grâce à qui nous avons pu les atteindre. Et il y a tout le reste de l’année pour évaluer ces mêmes acquis et débattre des politiques qui pourraient ou auraient pu nous permettre de les dépasser. Mélanger les deux, relève plus d’un illogisme patent – voire d’une réelle mauvaise foi – que d’un désir d’analyse objective et académique par un panel d’universitaires et de journalistes dont les orientations idéologiques à l’égard de l’Algérie est très questionnable. Nous y reviendrons subséquemment.

Le lieu

Le 8 mai dernier, le président français a présidé la cérémonie de commémoration du 77è!e anniversaire de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Voici le compte rendu d’un média français :  M. Emmanuel Macron « s’est rendu sur les Champs-Élysées pour ranimer la flamme du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe […]. Une minute de silence est observée pendant que résonne la sonnerie aux morts, avant que ne retentisse la Marseillaise ».

Une cérémonie à laquelle ont assisté les plus hautes autorités de l’armée française ainsi que des militaires invalides salués par le président en personne.

Peut-on imaginer des universitaires français organisant un colloque à Berlin sur le régime de Vichy ou sur la collaboration pendant l’occupation allemande ? Ou sur les Gilets jaunes ? Ou sur la montée de l’extrême-droite en France ? Ou sur ces présidents français si souvent épinglés par la justice de leur pays ?

Peut-on imaginer des universitaires français organisant un colloque à Alger sur les crimes de la France durant la conquête, la colonisation ou pendant la guerre d’Algérie ? Sur les enfumades, les razzias, les expropriations, les tortures, les viols et les assassinats commis pendant 132 ans d’occupation ?

Comment donc expliquer que des universitaires qui ont été formés non pas par la France coloniale mais par l’Algérie indépendante aillent déblatérer sur l’Algérie et ses problèmes chez l’ancien colonisateur ?

Où sont passés l’amour-propre, le respect de soi et celui des martyrs de la révolution. Où est passé le « nif », quoi !

Pensent-ils vraiment que la France officielle approuve leurs salmigondis pour des motifs de droits de l’Homme ou de démocratie ? Pensent-ils vraiment que l’essor de l’Algérie intéresse la France officielle, celle-là même qui a écrasé leurs ancêtres pendant plus d’un siècle ? Savent-ils que s’ils ne servaient pas la politique du Quai d’Orsay, ils seraient éconduits comme de vulgaires bougnouls ? Peuvent-ils nous dire, par exemple, que font les crânes de nos concitoyens stockés dans des boites comme de vulgaires objets dans un édifice qu’ils ont abusivement baptisé « musée » comme si les restes humains de nos héroïques combattants pouvaient être considérés comme du matériel muséologique ?

Cela me remémore un passage de mon livre « Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête » :

« Quand je pense que ni Kamel Daoud, ni moi ne serions en train de débattre de la sorte si l’Algérie n’avait pas payé un lourd tribut afin de mettre fin au joug colonial français et accéder à son indépendance ! Dans le meilleur des cas, nous serions, lui à Mesra (village près de Mostaganem) et moi à Fillaoucène (village proche de Tlemcen), en train de garder les cochons et les truies du colon du coin, plongés dans une misère affreuse et une ignorance multigénérationnelle, sauf peut-être l’aptitude à reconnaître les gorets des verrats… » (p.124)

Et c’est le cas de la quasi-totalité des participants d’origine algérienne !

Qu’on se le dise clairement. Si l’Algérie avait sombré dans cette maudite saison fallacieusement nommée « printemps » par les Occidentaux, la France aurait, sans aucun doute, agi en Algérie comme elle l’a fait en Libye ou en Syrie. Dans le premier pays, elle a tapissé le pays de bombes et, dans le second, elle a aidé des « mangeurs de cœurs humains » à faire « du bon boulot ». Pas au courant ? Il faut juste poser la question à MM. Sarkozy et Fabius. Ils n’habitent pas trop loin du lieu du colloque.

Les participants

Tout d’abord, cet évènement ne peut pas être qualifié de « colloque » car, comme l’explique si bien son « organisateur en chef », M. Bensaad, il n’y a pas eu d’appel public à communications (voir son interview – @ 54’02’’) et cela semble bizarre que la « prestigieuse » université parisienne soit rentrée dans cette combine. Cela s’est passé entre copains de même ADN idéologique concernant l’Algérie que j’ai nommé dans une précédente occasion « consanguinité intellectuelle ». C’est le cas d’ailleurs des invités de ce média fantoche basé au Québec nommé AlternaTV qui fait de la pub pour l’évènement ou de ceux de Radio M, un autre média domicilié à Alger qui, lui, est financé par le Quai d’Orsay et dont certains abonnés et collaborateurs étaient présents à ce colloque. Tant pis! Il n’y aura pas de débat contradictoire. Les participants s’autocongratuleront, s’autocomplimenteront et s’autoféliciteront à la fin de l’évènement, espérant que leur laïus aura atteint les oreilles de leur roi Macron car certains attendent impatiemment le retour d’ascenseur. En effet, lorsque l’actuel président français s’attaqua méchamment et gratuitement à l’Algérie, Ali Bensaad prit sa défense dans Le Monde, journal connu pour son « amour inconditionnel » pour l’Algérie. Et il n’était pas le seul, loin s’en faut. Ce même quotidien avait ouvert ses colonnes, quelques jours plus tôt, au « Professeur émérite » (excusez du peu !) Lahouari Addi pour disserter de la pensée philosophique macronienne sur la création de l’Algérie. Et, vous l’avez peut-être deviné, M. Addi était présent au colloque en qualité de membre du comité scientifique.

Le comité scientifique du colloque.

WOW ! Quelle maîtrise de la science ! Il en a fait brillamment la démonstration mathématique dans un calcul épique où il a admirablement jonglé avec les cm2 et les cm3 ! Époustouflant !

Le « Professeur émérite » Lahouari Addi et son calcul épique pour dénombrer les manifestants du Hirak : il les a juste confondus avec des sardines en boîte.

En défendant le président Macron, Ali Bensaad et Lahouari Addi rêvent-ils de devenir les « Moustapha Abdeljalil » ou les « Bourhan Ghalioun » d’une Algérie « printanisée » ?

Moustapha Abdeljalil et Nicholas Sarkozy (Paris, le 1er septembre 2011).
Bourhan Ghalioun, François Hollande et Laurent Fabius (Paris, le 6 juillet 2012).

Lahouari Addi est un des « ténors autoproclamés du Hirak » que j’ai amplement cité dans mon livre sur le sujet. Il a longuement collaboré avec le think tank de la NED (National Endowment for Democracy), vitrine de la CIA, dont l’implication dans les révolutions colorées et le « printemps » arabe n’est plus à démontrer.

Cela n’est pas sans nous rappeler que Raymond Aron, le principal signataire de la déclaration d’allégeance à l’Algérie française du 23 mai 1956, a été lui aussi été largement financé par la CIA. Cela prouve que cette dernière n’a jamais cessé son travail continu de subversion des « élites » étrangères pour promouvoir son agenda politique dans les pays ciblés.

Et que dire des autres participants ? Il serait évidemment trop fastidieux de disserter de leurs accointances et de leurs orientations politiques vu leur nombre, mais il est possible de les catégoriser.

Tout d’abord, et contrairement à ce qu’avance Ali Bensaad (voir son interview – @ 50’00’’), les participants ne font pas tous partie du milieu académique. On y remarque une forte présence de journalistes, pour la plupart d’entre eux de notoires « printanistes », appartenant au Monde (tiens donc !), à ce qui reste du Monde Diplomatique et des habitués de Radio M et de la secte algéroise des « Zigomars » dont Ali Bensaad et Lahouari Addi cognent assidument à la porte d’entrée.

En passant, il n’est pas inutile de rappeler que Le Monde est financé par l’Open Society, la fondation de George Soros, un autre spécialiste des « regime change » à l’instar de la NED.

Le journal Le Monde est financé par l’Open Society de George Soros.

Il y a aussi des universitaires algéro-algériens qui ont fait leur pèlerinage à Paris et qui ont, depuis 2011, adopté le « printemps » comme saison de prédilection pour les pays arabes. Il est intéressant de noter que certains d’entre eux ont bénéficié de bourses américaines prestigieuses, ceci expliquant cela.

Le plus étonnant c’est qu’ils ont non seulement pris congé de leurs charges pédagogiques (l’année universitaire n’étant pas encore close), mais certains ont aussi bénéficié d’une prise en charge étatique pour participer à ce colloque ! C’est ce que nous révèle Ali Bensaad dans son monologue avec AlternaTV (voir son interview – @ 43’12’’).

Les congés scientifiques financés par le gouvernement algérien serviraient-ils aux universitaires algériens pour collaborer à ce type de colloques ? Si c’est le cas, c’est gravissime.

Ces mêmes intellectuels qui sont allés à Paris analyser les « Trajectoires d’une nation et d’une société » pourraient commencer par le commencement, c’est-à-dire analyser leurs comportements dans leurs pratiques pédagogiques quotidiennes et leurs relations professionnelles. En effet, certains se vantent de ne se présenter à l’université qu’une seule (et unique) journée par semaine (sic!) tandis que d’autres communiquent avec leurs collègues enseignantes avec le langage fleuri des injures et des insultes (re-sic!). Il n’est pas utile de citer des noms, les concernés se reconnaitront.

Il va sans dire qu’avant de donner des leçons à toute l’Algérie, il est fortement recommandé de prendre le temps de balayer devant sa porte. Et ce simple et banal conseil est valable pour tous les invités du colloque.

En ce qui concerne les autres participants, on a affaire à certains sympathisants (militants ?) du MAK (Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie) comme Salem Chaker (lire cet article et, pour plus de détails, voir cette émission @ 1h 34’ 45’’), une organisation séparatiste classée terroriste par le gouvernement algérien.

Ajoutons à cela des « quituquistes » notoires, tel Omar Benderra, qui accusent l’armée algérienne des crimes commis par les djihadistes algériens lors de la décennie noire (voir cette émission @ 1h 15’ 05’’). Benderra et ses acolytes sont reliés à l’organisation islamawiste « Rachad » (lire mon article sur le sujet), elle aussi classée terroriste par le gouvernement algérien. Rappelons à ce sujet que le « professeurissime » Lahouari Addi avait qualifié Mourad Dhina, un des fondateurs de « Rachad », « d’Erdogan algérien » !

Ainsi, les trois composantes du Hirak frelaté en l’occurrence les ONGistes, les makistes et les islamawistes sont soit présents dans ce colloque, soit représentés par des sympathisants et des collaborateurs actifs.

Pour l’anecdote, j’avais analysé la rhétorique de Ali Bensaad en comparaison de celle de Larbi Zitout, un autre membre fondateur de « Rachad ». Ce dernier est un saltimbanque du Hirak qui passe son temps à croasser sur le cyberespace, s’attaquant à tout ce qui bouge en Algérie. J’étais arrivé à la conclusion que leurs discours avaient plusieurs similitudes du point de vue rhétorique, malgré l’énorme différence entre leurs parcours. En réalité, on se rend compte qu’ils mènent le même combat à la seule différence que Ali Bensaad se cache derrière une toge et un mortier. Un combat pour la « printanisation » de l’Algérie et le colloque parisien en est un des multiples instruments.

Mais sachez messieurs les « intellectuels invités de la Sorbonne », en Algérie nous préférons voir les feux d’artifice des Jeux Méditerranéens monter vers le ciel d’Oran plutôt que les bombes de l’OTAN descendre sur les têtes des Libyens.

Nous préférons voir les sourires et la joie sur les visages des sportifs méditerranéens plutôt que la peur et les larmes sur ceux des réfugiés syriens.

Nous préférons voir la Méditerranée comme une mer de paix et d’amitié entre les peuples plutôt qu’un tombeau pour le petit Aylan.

source : Ahmed Bensaada

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Azeka, Demain sera un jour Meilleur
Azeka, Demain sera un jour Meilleur
28 juin 2022 10 h 28 min
Depuis que les fameux ténors Bouchach, Bouregaa et Benlarbi ont eu la délicate intention de rendre visite au terroriste Algérien Ali Belhadj, chef de l’islam politique, porte d’entrée de la confrérie des frères musulmans en Algérie, j’ai vu une marque distinctif que le Hirak a été infiltré de l’extérieur. L’Algérie de 2020 par ces auto-proclamés “chefs”cité ci-dessus, du peuple Algérien, descendu uni dans les rues des villes de tout le pays, a été avalisé par le camp du bien, de la démocratie “occidental”. Cette même façade de démocratie, qui absout aujourd’hui en 2022 les ukro-nazis de Kiev qui bombardent depuis 8 ans ces propres civils du Dombas, que la Russie est venus un peu tardivement défendre avant qu’ils ne soient complément génocide! Oui le Hirak est mouvement né spontanément à Kherrata mais a depuis été récupérés par le camp occidental! Offrir ainsi une place a Ali Belhadj est une traitrise et un déterounement du Hirak de la part de ces hommes là. L’Islam doit resté une foi, et ne pas être manipulé par le politique. L’islam politique est un instrument de manipulation de masses. Regarder de vous même, le cas de la Lybie avec Khadafi, c’est les frères musulmans qui ont collaboré avec l’OTAN, l’occident. La Tunisie et son parti El Nahda qui dans un premier temps a voulus du pouvoir pour changer la constitution est en faire une république islamique qui aurai aujourd’hui si cela avait fonctionner reconnue Israel. Continuant avec la patrie qui a vu naitre ce mouvement politique des frères musulmans, l’Egypte, le fameux président Morsi ou encore et Syrie! La Syrie, pays mutilé-confessionnel, multi-ethnique, mais un pays ou toute confession est reconnus, mais un pays laïque sur le plan institutionnel. C’était pas pays exemplaire en terme de liberté, peut-être et j’en suis pas si sur de cela. En tout cas quels sont les mouvances politiques du pays qui ont collaboré avec les ennemis de cette nation Syrienne, pour abattre le pays et le morcelé en une multitude d’états, faibles évidement et cela au bénéfice unique d’Israel? Evidement ce sont toujours les mouvements issus de l’islam politique (frères musulmans, les wahhabites et salutistes).
Evidement, nous devons conservé cette colonne vertébrale et la consolidé, d’une manière intelligente et avec l’adhésion de toutes les régions de l’Algérie. Cette colonne vertébrale est le coeur de ce pouvoir réel. Elle englobe une partie de l’armée, les affairistes tout comme les nationalistes. Les affairistes devraient choisir l’armée ou les affaires et les nationaliste devrais allais vers une reconnaissance d’une Algérie multilinéaire, une Algérie débarrassé de la question confessionnelle, de la question linguistique et convenir que l’Algérie est un grand pays, avec une diversités culturels entre les régions et qui sont légitimes a être reconnus et considéré. Cela est vitale pour une Algérie qui voudra s’en sortir dans ce nouveau monde qui se dessine actuellement.
Akhenaton
Akhenaton
28 juin 2022 14 h 06 min
Vous dites en parlant de la Syrie : “C’était pas pays exemplaire en terme de liberté”. Connaissez-vous un pays qui est exemplaire en terme de liberté ? Pourquoi, quand il s’agit des pays du Sud, toujours exiger d’eux l’exemplarité, à savoir un modèle idéal qui n’existe pas ?
Azeka
Azeka
28 juin 2022 20 h 11 min
Répondre à  Akhenaton
Tout a fait d’accord avec vous.
J’ai rajouter “peut-être et j’en suis pas si sur de cela”, mais peut etre je me suis mal exprimer, je suis désolé.
Oncle Fernand
Oncle Fernand
28 juin 2022 10 h 34 min
Sujet extrêmement sensible et explosif. Exposer certains désaccords et autres réalités sur cette épisode de l’histoire est très périlleux, même si cela n’excuse en rien les comportements de butor des colons. Des colons en général d’ailleurs, ce dont j’ai essayé de faire comprendre. Hier j’en ai pris plein la tête et je n’irai donc pas plus loin. Si ce n’est que débrouillez vous avec ça car je ne suis pas un spécialiste, ni un expert comme s’en revendique certains, mais juste un minable petit français de souche raciste, inculte et bas de plafond, comme me l’on bien fait sentir les internautes Algériens intervenant sur le site de ce lundi 27 Juin 2022. C’est bien la peine de prendre plaisir à écouter la musique arabe, lire des philosophes tel Ibn Khaldoun notamment, de trouver son écriture magnifique et, en tant qu’ancien cuisinier, savourer sa cuisine pour me faire rabrouer de la sorte. Y ‘a vraiment de quoi envoyer tout balader.
moussaillon
moussaillon
28 juin 2022 17 h 19 min
Répondre à  Oncle Fernand
+++ Les gens , pour la majorité sont déséquilibrés et souvent , dans les discutions d’aujourd’hui , ce sont les deux extrêmes . Il vaut mieux ne pas en discuter , quant au relation par internet , s’est le trou noir . Je suis algérien de souche et je ne parle plus de ses choses là depuis longtemps . Les raciste sont partout , surtout en ce moment chez les Algériens en particulier ;, par la frustration de non reconnaissance . Mais bon , ce ne sont que des mot . Bien à vous , je sais que vous êtes quelqu’un de bien . Cordial
Oncle Fernand
Oncle Fernand
28 juin 2022 18 h 36 min
Répondre à  moussaillon
Je suis très touché ! Merci !
Oncle Fernand
Oncle Fernand
28 juin 2022 12 h 36 min
Merci Ri d’avoir supprimer mon commentaire. C’est une bonne surprise…vraiment ! Vous faites preuve de spontanéité et j’adore, car cela débouche souvent sur les meilleurs souvenirs. J’aime bien que l’on m’apprenne sur ce que l’on a la droit d’expliquer, ou pas et cela me conforte dans l’idée que le sujet est sensible et explosif.
Oncle Fernand
Oncle Fernand
28 juin 2022 14 h 49 min
Répondre à  Oncle Fernand
Je viens de découvrir que vous avez réintégrez mon commentaire. Bon ! Et bin encore une fois je vous remercie.
O Coquinos
O Coquinos
28 juin 2022 12 h 41 min
Donc, ne pas confondre A. Bensaad avec A. Bensaada. Le second se souvient du petit Aylan, alors que le premier l’a probablement oublié.

Il est clair que la France, dirigée par des malfaisants et des rapaces, continue de s’enferrer dans son néocolonialisme pestilentiel. Ces malfaisants et ces rapaces ont leur équivalent de l’autre côté de la Méditerranée et s’entendent avec eux comme larrons en foire.

O Coquinos
O Coquinos
28 juin 2022 13 h 48 min
Répondre à  O Coquinos
Cher monsieur (ou chère madame). Le tutoiement ne s’impose pas quand on n’a pas gardé les cochons ensemble, cela étant dit sans blague de mauvais goût. Question d’éducation, sans doute.
Je vous retourne le compliment qui vous va comme un gant. Vous avez quel âge : douze ans et demi ? Je pense qu’à partir de 13 ans on n’écrit plus de pareilles invectives ne serait-ce que par amour-propre.
Dans vos commentaires sur l’article “60 ans d’indépendance : nécessité d’un devoir d’inventaire avec la France” publié hier sur RI, je vous ai d’abord félicité pour un commentaire qui me paraissait sensé. Puis, je me suis ravisé en constatant que vos commentaires ultérieurs étaient aussi médiocres que ceux de vos contradicteurs. En fait, pour ma part, je vous identifie comme un ou une nationaliste algérien(ne) qui pique sa crise dès qu’une critique est émise à son encontre ou à l’encontre de son pays, même anodine. Avec le temps, la maturité vous viendra, vous verrez.

Hier, on a assisté à une longue prise de bec entre au moins un(e) nationaliste algérien(ne) (je ne mets pas Safiya dans le même sac que vous) et plusieurs nationalistes français (malheureusement, nombre des commentaires ont été supprimés, dont les miens, ce qui prouve que la censure ne sévit pas seulement sur Face de bouc). Chacun a le droit de s’exprimer, bien entendu. Mais en l’occurrence cette discussion à bâtons rompus n’avait à mes yeux aucun intérêt : seuls m’intéressent les patriotes qui eux peuvent trouver un terrain d’entente quelles que soient leurs nationalités. Les nationalistes ne peuvent que s’écharper et se faire la guerre, tôt ou tard.

Allez, cessez d’essayer de mordre avec vos quenottes, vous devriez ne vous en prendre qu’à de plus hostiles que moi. Des gens qui vous ressemblent, en fait.

O Coquinos
O Coquinos
28 juin 2022 13 h 57 min
Répondre à  O Coquinos
J’ai répondu à votre invective. Bizarrement, ma réponse a été immédiatement bloquée par la modération. Si elle n’est pas acceptée dans le courant de la journée, je la réécrirai. Je n’ai pas pour habitude de me laisser prendre à partie sans réagir. Encore faut-il qu’on puisse le faire.
Blanchard de La Brosse
Blanchard de La Brosse
28 juin 2022 12 h 46 min
Excellent article pour faire le grand ménage.
Pour me part je suis Algérie amitié franco-algérienne, ce que je croyais au départ correspondre ( j’étais bien jeune, ignorant surtout et bien naïf) à l’Algérie française.

Je vois que j’étais pas le dernier et qu’il y a encore du boulot. A mes « grands amis » d’autrefois, je conseille volontiers de me rejoindre. Vous verrez que c’est pas si difficile et que l’herbe est nettement plus verte dans le cœur des Algériens que dans celle, sinon de beaucoup de nos compatriotes, au moins de nos gouvernants.

Finalement l’histoire à ma grande surprise m’a donné raison : l’Algérie est devenue bien plus française que la France. Elle est fière, souveraine, combattante et défend ses valeurs, des valeurs qui pour beaucoup sont celles qui viennent jusque sur nos lèvres, mais nos gouvernements en nos noms, trahissent par leurs actes à chaque instant.
Quand rejoindrons nous ces nations phares, nous dont la lumière a été confisquée ? Remercions ces lumières d’exister pour l’espoir et le courage qu’elles nous donnent au lieu de nous enivrer toujours d’avoir été des maîtres, triste réalité.
Portons à nouveau à tous, pour ne plus le quitter, le message de la délivrance,
mais pas seulement d’une domination, d’une appropriation, d’une spoliation, d’une usurpation, une délivrance sans limite, sans exclusive et pour tous les êtres vivants.
Alors nous apporterons quelque chose de grand et de bon pour guérir les maux que l’être humain, l’homme plus que la femme, a causé au monde, depuis si longtemps.
Alors peut-être, aurons-nous fait un pas significatif.

cousin
cousin
28 juin 2022 13 h 07 min
franchement on aurait pu empêcher la guerre et ses horreurs . Il fallait reconnaitre l’indépendance de l’Algérie bien plus tôt . ce n’est pas la france . je comprends les arguments de l’article mais il était ridicule de vouloir des départements français en Algérie. chaque peuple a sa fierté et la fierté c’est l’indépendance de l’Algérie même si elle y a perdu beaucoup en économie et en richesse de part cette indépendance . . .
Juste
Juste
28 juin 2022 23 h 56 min
Répondre à  cousin
Il fallait pour les français qu’il n’aille pas en colonisateurs en Afrique et ailleurs … Ils auront à payer le prix fort. Ce que nous voyons déjà à ses commencements … La France subira ce qu’elle a fait subir.
salim
salim
28 juin 2022 14 h 36 min
Bienfaits de la France en Algérie avec preuves.
A ce lien ci dessous – un pdf de 13 pages bien explicite à télécharger.

Bonne lecture.

https://www.petit-fichier.fr/2022/06/28/bienfaits-de-la-france-en-algerie-avec-preuves/

salim
salim
28 juin 2022 14 h 46 min
Répondre à  salim
Le petit Aylan, le voici, il restera sur la conscience de certains.
Sur ceux qui sont derrière le désastre qui s’est abattu sur certains pays, nommé “terrorisme”.

Qu’il repose en paix.

comment image

Last edited 1 année il y a by salim
salim
salim
28 juin 2022 16 h 29 min
Répondre à  salim
Voici le bon lien pour télécharger le pdf.

Désolé, il y avait une erreur sur le pdf qui le rendait illisible – une superposition de texte et de tableau.

Merci.

https://www.petit-fichier.fr/2022/06/28/bienfaits-de-la-france-en-algerie-avec-preuves-1/

mériem
mériem
28 juin 2022 15 h 03 min
Merci pour cette analyse à laquelle j’adhère, amplement. Personnellement, je m’y étais inscrite étant donné que j’avais reçu l’information. J’étais connectée à la plateforme le premier jour, après avoir loupé deux ou trois interventions, j’ai été outrée par de supposées communications scientifiques, qui, en fait, n’étaient que du vomis pestilentiel indigne d’auteurs se prétendant intellectuels. Un colloque-calumet permettant de déverser un fiel fumant sur l’Algérie.
Nasser
Nasser
28 juin 2022 15 h 23 min
A propos ce Ali Bensaad (ne pas confondre avec l’auteur Ahmed Bensaada), je vous propose de lire cet article
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Les accusations de M. Ali Bensaad par des preuves des «services» français ?—
M. Ali Bensaad, résidant en France, dit posséder des preuves d’importances, impliquant M. Belhimer actuellement Ministre. Selon M. Bensaad, M. Belhimer (avant d’être ministre) aurait « produit des notes stratégiques pour le ministère français de la défense … dans le cadre d’un cercle de réflexion de l’Ecole Militaire de Paris » (logiquement classées « top secret » puisqu’il affirme qu’il s’agirait de notes sur des secrets militaires). Il tempère en précisant qu’il « n’est pas de ceux qui condamneraient le dialogue entre militaires et civils et des deux côtés de la Méditerranée » et que si ces notes lui sont parvenues c’est que ce « haut gradé » (organisateur) a dû juger qu’elles « ne sont pas délictuelles pour les entourer d’une forte protection ».
M. Bensaad ne doutant pas lui-même que ces échanges « étaient strictement intellectuels », il demande toutefois à M Belhimer qu’il « s’en explique ou qu’il cite cet officier comme témoin de moralité » pour lui prouver que ces échanges « étaient moins dangereux que les relations de M. Drareni avec SOS racisme et Reporters Sans Frontières ».
A quel titre il exige cela ? Est-il un responsable des « services algériens »s ? Est-il décideur au niveau de l’Armée algérienne ? Connait-il les tenants et aboutissants de ces « échanges » ? Il ne le précise pas ! On comprend, néanmoins, que pour venir en aide à M. Drareni, il tente de créer un « pendant » avec M. Belhimer ; deux personnes sans comparaison !
SUITE….
https://algerie54.dz/2020/08/27/hirak-medias-2-2/
Firmus
Firmus
28 juin 2022 15 h 36 min
Par moment il est judicieux de faire son autocritique, si opposition existe c’est qu’elle a ses racines quelque part? S’il faut extirper tout courant politique et ne laisser qu’un courant qui irait dans le sens du poil du régime, cette réunion, tout comme les oppositions, aurait pu avoir lieu en Algérie si le champ politique n’est pas verrouillé par la mafia qui a pris en otage ce pays (Je parle des oligarques/Militaires) et l’ont mis en debet, quand a classer les autres de terroristes c’est l’apanage de ceux qui détiennent la force. La question qui se pose serait où en sommes nous depuis 1962? Ce n’est pas en jettant l’anatheme sur les autres ou en ignorant les réalités que l’on arrivera a construire une nation sur l’exclusion. Nos ancetres ont consentis le sacrifice supreme pour une societe plus juste, plus sociale, plus respectueuse de la diversites et de son histoire millénaire, hélas leurs héritiers ont choisi la voie contraire. L’histoire est toujours utile a revisiter, pour tirer des enseignements utiles a toute demarche en vue de construire un avenir meilleur (sauf que dans notre cas : il n’y a ni recours a l’histoire, ni enseignements a tirer et ce malgré la lutte anti coloniale et la guerre civile), un peu d’humilite et d’honnetete aurait du prevaloir, avant de clouer au pilori les voix discordantes, un peu d’engagements aupres de son peuple aurait plus constructif, comme on dit que ne dit mot consent outre la fait de jouer aux victimes éternelles dénote un manque d’assurance en soi (il faudrait prendre exemple sur les vietnamiens, 30 ans de conflit intense mais ils ne pleurnichent pas et avance en regardant vers l’avenir).
Nasser
Nasser
28 juin 2022 16 h 01 min
BONNES lectures à propos de ADDI, DHINA, ‘Rachad’, Amnesty, RSF, Plenel etc…
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Amnesty, RSF, Plenel, et leurs médias en ligne
de bataille sous l’étendard «liberté d’expression» 
https://www.palestine-solidarite.org/analyses.amar_djerrad.090520.htm

France : l’influence des lobbys et la gouvernance des coquins ! Par Amar Djerrad
http://libnanews.com/france-linfluence-des-lobbys-et-la-gouvernance-des-coquins-par-amar-djerrad/

A. Aroua et M. Dhina, des Rachadistes «pacifistes» de Suisse, versus A. Bensaada le «complotiste contre-révolutionnaire»
https://algerie54.dz/2021/10/27/terrorisme-rachad/

M. DHINA et H. BAALI, des agents «khilafistes et printanistes» anéantis par le livre-enquête de A. Bensaada !
https://algerie54.dz/2020/06/09/ongistes-hirak/

Quel «Hirak» veut-on faire resurgir et pour quels objectifs ?
https://www.palestine-solidarite.org/analyses.amar_djerrad.200620.htm

Le «Hirak», la «3issaba», les partis, la «vache à traire», la démocratie et la nouvelle Constitution !
https://www.mondialisation.ca/le-hirak-la-3issaba-les-partis-la-vache-a-traire-la-democratie-et-la-nouvelle-constitution/5649896

La félonie du clan des « demokhrates » ou la souillure des néo colonisés!
https://www.mondialisation.ca/la-felonie-du-clan-des-demokhrates-ou-la-souillure-des-neo-colonises/5652612

Josy
Josy
28 juin 2022 16 h 56 min
Frantz Fanon est toujours d’actualité §
mais nous avons nos colonisés bien français polarisés vers les USA /tant que l’argent coule à flots et que la planche à billets n’a pas montré les limites à combler une dette impossible à effacer.
Josy
Josy
28 juin 2022 17 h 10 min
Répondre à  Josy
Formations depuis bien longtemps de nos “élites” politiques reconnaissantes et inféodées par le retour d’ascenseur . YOUNG LEADERS mais aussi peace corps ‘Chirac , Hollande Sarkozy Macron et le rangs , les rangs en dessous pour ne pas risquer de perdre une jeune pousse qui désobéirait et ne serait pas conforme aux intérêts du formateur.
Vos participant au colloque sont reconnaissants et ne savent plus qui ils sont : ils n’ont même pas choisi , même pas une voie métissée , ils louvoient.
Glen lukemba
Glen lukemba
29 juin 2022 9 h 40 min
Répondre à  Josy
Frantz Fanon? Quand j’étais jeune, j’avais lu son livre me croyant intelligent et voulant faire impression en le citant devant des gens dit “cultivés” Je me souviens surtout d’une pleureuse communiste qui au nom de l’africanité cautionnait l’excision des jeunes filles, ce qui d’ailleurs avait choqué des auteurs afro-américains (encore un terme absurde sachant que la plupart ignore tout de l’Afrique et n’y ont jamais mis les pieds) dont Chester Himes qui expliquait dans son auto-biographie le gouffre qu’existait au niveau mental tant que culturel entre les noirs américains et les noirs africains.
Last edited 1 année il y a by Glen lukemba
Lieu banni
Lieu banni
28 juin 2022 17 h 22 min
En aucun cas il ne s’agit pas de nos nombreux amis français, humanistes, pacifistes et très respectueux de la souveraineté et de l’intégrité de l’Algérie.”

ce genre de comentaire pour plaire à un peuple de complice à la cécité sélective m’amuse toujours !

Ok macron et Hollande mis à part , quel dirigeant la population française n’a pas soutenu ?
Macron n’est qu’une conséquence d’une acceptation du mode de fonctionnement parasitaire de la France tant que la gamelle “mode de vie que le monde nous envie et pouvoir d’achat étaient satisfaite !
N’a-t-on pas des compatible de Gaulle …pourtant la France fonction toujours comme il l’a créé…..

Faire la part entre des plébiscitées silencieux (certe) et les dirigeants qu’ils se donnent relevé de la même hypocrisie.

Si la vérité a encore un sens !

magid
magid
28 juin 2022 23 h 43 min
Répondre à  Lieu banni
ceux la sont ceux qui mangent avec le loup et pleurent avec le berger .