par Simon Desanglois.
Un beau cadeau au MEDEF
Un nouveau texte adopté cette semaine permettra aux patrons d’imposer jusqu’à huit jours de congés payés, mais aussi d’en choisir ou d’en décaler la date avec un délai de prévenance réduit à un jour.
Profitant de la crise, la Macronie avait déjà bien entaillé le code du travail au début de la pandémie en usant d’un état d’urgence fort pratique. Souvenons nous ainsi du début de la crise, lorsqu’elle avait autorisé la hausse du temps de travail hebdomadaire jusqu’à 60h. À cette époque, elle avait également permis aux employeurs d’imposer des congés payés de six jours à la date de leur choix. Aujourd’hui, elle vient de porter cette mesure jusqu’à huit jours, sous prétexte de favoriser la relance des entreprises cet été.
Prévenu un jour à l’avance
Mais pire encore, les chefs d’entreprises auront également la possibilité d’imposer ces huit jours de congés en vous prévenant seulement un jour à l’avance. Auparavant le délai légal était d’un mois entier. Concrètement, si votre patron le décide, il pourra vous annoncer mercredi que vous êtes en congé pour huit jours le vendredi. Pire, il pourra également déplacer vos dates de vacances déjà posées avec le même délai.
Ne réservez pas vos vacances trop rapidement
Ainsi, si vous avez déjà convenu il y a quelques temps de vacances allant du premier au huit juillet, votre employeur aura tout à fait le droit de vous annoncer le 29 juin que vos congés sont reportés à une date ultérieure. Idéal si vous avez déjà payé des vacances non remboursables…
Au bon vouloir du patronnât
Cette mesure, qui devrait rester en vigueur jusqu’à l’automne prochain s’inscrit dans une longue lignée d’attaques contre les droits des travailleurs. Si certains employeurs conservent encore un minimum de sens moral pour ne pas imposer ce genre de coup bas, on imagine aisément que d’autres, notamment dans les multinationales, n’auront aucun scrupule. Reste aussi à craindre que, comme souvent, des mesures censées être exceptionnelles finissent par entrer dans le droit commun…
source : https://lemediapourtous.fr
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C’est de l’ humour noir de voir que la classe moyenne , celle qui reste au travail (?) , est ravie de ce qui arrive à. ceux et celles dont “on” se débarrasse avec fracas par soucis d’ altruisme égocentrique 💀 : on verra la suite pour eux et elles les sauvés momentanés du naufrage organisé 🤣!
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“Ça marche” le Macron “En Marche” est en campagne électorale sirop, les “mignons” LGBTQ sortent la vaseline médiatique et télévisuelle : les sondages montreraient une escalade fantastique , inespérée , …, de la confiance du peuple pour ledit Macron qui se vautre dans des clips vidéo pré-mâchés de campagne !
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C’est de l’ humour noir de voir que la classe moyenne , celle qui reste au travail (?) , est ravie de ce qui arrive à. ceux et celles dont « on » se débarrasse avec fracas par soucis d’ altruisme égocentrique 💀 : on verra la suite pour eux et elles les sauvés momentanés du naufrage organisé 🤣!
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« Ça marche » le Macron « En Marche » est en campagne électorale sirop, les « mignons » LGBTQ sortent la vaseline médiatique et télévisuelle : les sondages montreraient une escalade fantastique , inespérée , …, de la confiance du peuple pour ledit Macron qui se vautre dans des clips
Il faut quand m^me un accord d’entreprise et cela vaut jusqu’au 30 juin 2021
Ceux vécus avec emmanuel, marlène, jeannot et cetera.
y aura des “porter-pâle”…
Pendant que certains étaient fiers d’arborer leurs masques et se laver et se relaver les mains en entrant au centre commercial , le pouvoir politique qui leur racontait les niaiseries d’usage leur plantait gentiment un coup de poignard dans le dos .
Mais quand allez vous comprendre bande de cons que ces gens là veulent tout sauf votre bien ???
Celles qui de toute façon vont dégraisser encore et encore grâce au cinéma du virus.
Et où ils ont pas attendu une Loi pour ça.
Pour les petites boîtes, si j’étais le patron j’irai mollo avec ça.
Parce que déjà qu’ils savent pas si en septembre ils auront encore une entreprise à eux, ou s’ils seront sous un pont en compagnie de leurs salariés, braquer les salariés c’est pas le meilleur moyen de les mobiliser pour l’avenir de l’entreprise.